Promenade

Ce matin j'ai eu l'idée simple mais inhabituelle de partir me promener assez tôt. Il faut dire qu'il faisait très beau. C'était très agréable. Un soleil léger, frais, un ciel très bleu, l'air frais...

Je me suis dit, comme souvent, que je devrais faire ça plus souvent. J'ai tendance à me laisser aller, à être paresseuse, trainer chez moi, et la journée passe un peu mollement, sans joie. Là, d'avoir eu le "courage" de sortir tôt, après le premier café, ça m'a dopé.

Je devrais faire ça plus souvent.

Lectures web

J'ai été très amusée par ce roman ! C'est là. (pour le lire)

Elle a aimé aussi.

ça me rappelle des vacances... à Gran Canaria. J'avais sympathisé à l'arrivée avec une fille qui vaoyageait avec moi. En fait, je l'avais repéré dans l'avion, et on a parlé à l'arrivée. Ensuite, on s'est retrouvée au taxi. Bref, on a rigolé, parél, il se trouvait qu'on logeait dans des hpotels éloignés, mais pas trop, et on s'est revue...

Envie de Maxime Leforestier

ça me prend tout d'un coup comme ça, l'envie d'écouter Raymonde, ou San Francisco. Envie de douceur et de souvenir.

ces chansons, je les écoutais quand j'étais étudiante.... ça signifie tellement pour moi...

Internet

J'ai changé de compagnie pour internet...

ça marche mieux.

Mais la télé marche moins bien...

Rien n'est parfait.

Rédactions

On ne me demande pas de faire des trucs extraordinaires, mais de toute façn je serais difficilement capable de rédiger des articles tels que je les lis. Je les trouve le plus souvent obscurs et mal fait, comme s'ils tournaient au tour du roman sans y plonger. Cela dit, dans ma boîte, ma chef me reproche de raconter les romans et de donner mon avis. Je dois plutôt donner envie de lire le livre par une critique fun. Ah bon. Peut-être que dans les journaux plus intellos, l'idée c'est de donner envie de lire le livre à coups de phrases pensées et obscures ?Ou à coup de jugement aériens et pensés ?

J'ai l'impression d'avoir 12 ans et de rédiger des explications de textes.

L'incendie du Hilton

Perplexe avec le François Bon. L'Incendie du Hilton. Il faut dire que je l'ailu car avec un tel titre, j'ai pensé au roman de Norman Maclean, la Part du feu, que j'avais trouvé génial. Curieusement, l'idée me semble similaire : évoquer l'incendie tel qu'il a été vécu, les traces qu'il a laissé. Après un premier chapitre pontifiant (mais je le lisais d'humeur grincheuse), j'ai été séduite par le ton du reste. Du coup, je le relis. Du coup, je l'aime bien. Du coup, j'ai honte d'écrire des conneries dessus.